Nous avons sĂ©journĂ© Ă SĂłller et avons Ă©tĂ© victimes dâune intoxication liĂ©e Ă la consommation dâeau du robinet. Aucune indication dans lâannonce ni dans la maison (affiche, Ă©tiquette sur les robinets, message de lâagence) ne signalait que lâeau ne devait pas ĂȘtre bue. Seule une note dans un carnet papier, trouvĂ© deux jours aprĂšs notre arrivĂ©e, mentionnait ce point pourtant essentiel ! RĂ©sultat : vomissements, fiĂšvre, diarrhĂ©es sĂ©vĂšres, consultation mĂ©dicale au retour, 121,47 de frais mĂ©dicaux, plus de 470 de courses gaspillĂ©es, et surtout, l'impossibilitĂ© dâassister au mariage pour lequel nous Ă©tions venus, en tant que tĂ©moins.Le propriĂ©taire nous a rĂ©pondu que "cela n'Ă©tait jamais arrivĂ©", pourtant la mention "eau non potable" a Ă©tĂ© ajoutĂ©e rĂ©cemment Ă la main (cf. photo), preuve quâil savait quâun problĂšme existait. L'agence de location a mĂȘme osĂ© dire que câĂ©tait Ă nous de les appeler pour savoir si lâeau Ă©tait potable, une rĂ©ponse inadmissible et irresponsable.Il a proposĂ© un remboursement partiel, trĂšs insuffisant au regard du prĂ©judice physique, moral et financier subi. Depuis, lâannonce a Ă©tĂ© modifiĂ©e pour mentionner lâeau non potable, preuve quâil sâagissait bien dâun manquement initial grave.Abritel doit sâassurer que les annonces respectent les rĂšgles de sĂ©curitĂ© et dâinformation. Cette expĂ©rience a Ă©tĂ© marquĂ©e par une nĂ©gligence manifeste. Nous demandons un remboursement total du sĂ©jour et la prise en charge des frais occasionnĂ©s.